•     Pour son inauguration en 2004, la course d'OSMOSEA était réservée aux femmes. Marianne BREUIL boucla les 5 km tracés dans l'enceinte du Moulias en 23'24'' devant les auscitaines Brigitte DJELAOUI-23'34''- et Julie DANFLOUS-23'42''-.

        En 2005, un jeune toulousain, Jérôme CAMOIN, emportait la course de 5 km en 18'48'' (établissant ainsi le record d'OSMOSEA) devant les gersois Jack FERNIOT et Jérôme SILUCK respectivement en 20'28'' et 22'52''. Dans leur trace, la pavienne Marianne BREUIL gardait son titre en 23'59'' devant la jeune Marine RENARD-24'51''- et Sylvie LASSERRE-26'06''-.

        En 2006, le parcours de la course a trouvé son lieu de prédilection sur les berges du Gers, se fondant ainsi à la marche; c'est le jeune Benjamin BENQUET qui l'emporta en 23'55'' devançant Yves VALAT et Jack FERNIOT en 23'58'' et 24'29''. Chez les femmes, nous avons retrouvé Brigitte DJELAOUI en 28'01'' devant un trio uni et solidaire composé de Pascale CORRADI, Sylvie LASSERRE et Josiane ARRIVETS en 28'17''.

           En 2007, "COURIR POUR ELLES" est né, les 79 participants ont trouvé un parcours rapide de 10 km en effectuant le départ et l'arrivée sur la piste d'athlétisme les premiers ayant fait le "trou" en 36'09'' : Martial VOIRIN  et Xavier BENEDET devançait Pascal ALONSO en 37'50''. Les féminines optèrent pour la même stratégie : Séverine CARCHON et Cathy LAPART conclurent ensemble leur parcours en 45'01'' alors que Geneviève FERRARONI en 48'14'' "s'accompagnait" de son "pitchoun" dans une poussette, nouveau détenteur du record d'OSMOSEA!!!

             Le Défi Gersois est lancé ce dimanche 9 mars 2008, les 137 athlètes classés ont répondu à l'appel de "Courir pour Elles"; le vainqueur Cédric FERRER (en 34'20'') persiste et signe sa volonté de préserver son titre du général 2007 devançant Thibaut BERTRAND d'1'05'' et Patrick SARRIEU bouclant les 10 kms en 37'21''. Les féminines, au nombre de 47 gersoises, ont célébré un podium d'auscitaines remporté par Christiane ROUX en 44'31'', devant Auria JUNQUA en 45'21'' et Danielle CITRON en 45'53''.

     

     

     


  • Sportez-vous bien!

     

    Une vaste étude épidémiologique, réalisée sur 100 000 femmes par l'Inserm, a montré une moindre incidence du cancer du sein chez celles qui pratiquent une activité physique. Autre étude : la pratique du sport protège celles qui ont déjà un cancer du sein; celles qui font plus d'une heure de marche par semaine voient leur risque de décès diminuer de 20%.

     

    Bouger contre le cancer du sein

     

    Une nouvelle étude, conduite par une équipe de l'Inserm, vient de confirmer que l'activité physique offrait une réelle protection face au cancer du sein. Plus la discipline est soutenue et régulière, mieux on est protégé. Le risque est diminué de 40% pour cinq heures hebdomadaires de natation, de vélo ou de jogging. Même les activités modérées comme le ménage ou la marche sont bénéfiques.

     

    Mémo

     

    3 km de marche à un rythme soutenu sont égaux à :

                         - 15 minutes de corde à sauter;

                  - 30 minutes de squash non-stop;

                  - 1 heure de volley-ball

    (source : excellerator.net)

     

    Marcher pour se protéger

     

    La plus importante étude sur le cancer (Epic) vient de montrer que la pratique d'une activité physique régulière diminue de 40% le risque de développer une tumeur du sein. Pas besoin de préparer les JO ! Les spécialistes conseillent une activité de moyenne intensité, comme la marche, trente minutes chaque jour. Il semblerait que cela stimule le système immunitaire. En outre, bouger permet de contrôler son poids; or on sait maintenant que l'obésité est un facteur de risque de cancer, surtout du sein et du côlon.

     

     


  • ???? - Plusieurs études américaines ont montré une discrète augmentation du risque de cancer du sein chez les femmes recevant un traitement hormonal de la ménopause et qui sont, de ce fait, plus étroitement suivies par mammographie. L'accumulation de ces cancers dans les premières années du traitement témoigne en faveur d'un effet de la surveillance et non du traitement.

    De plus, ces études portent sur des patientes traitées par un dérivé de la testostérone, alors qu'en France, mes modalités de traitement sont différentes, associant l'oestradiol, hormone naturelle, à un dérivé de la progestérone. Aucune étude française na actuellement confirmé les risques.

    Ce risque est à mettre en regard du bénéfice que l'on peut attendre du traitement. Une surveillance mamaire et gynécologique régulière et prolongée est indispensable.

    Le bénéfice des traitements substitutifs a été  largement prouvé, d'une part sur le confort des femmes, mais aussi sur la prévention de l'ostéoporose et également des maladies cardiovasculaires.


  • FAUX -    Aucune étude sérieuse n'a pu montrer à ce jour le risque cancérigène de ces produits.


  • POSSIBLE - Le soja fait partie de ces végétaux qui contiennent des taux élevés de phytooestrogènes. Ils vont se fixer sur les cellules de l'organisme à la place des hormones féminines (ou oestrogènes) et bloquent ainsi l'action des oestrogènes sur la multiplication des cellules.

    On a donc attribué au soja un rôle protecteur du cancer du sein, en observant que les asiatiques, qui consomment régulièrement du soja, développent plus rarement que les femmes occidentales un cancer du sein. Mais l'addition de soja dans l'alimentation occidentale est-elle vraiment eficace? Et à quelle dose? Des études sont en cours pour tenter de répondre à ces questions.